L'amour lesbien : histoire érotique

J'ai découvert l'amour des femmes tout à fait par hasard. J'avais un fiancé  dont la sœur venait souvent en week-end. Nous nous retirions tous les deux dans la chambre et elle restait longuement dans le salon alors que, peu à peu, comme je suis d'un naturel très expansif, j'en venais à crier mon plaisir, Comme le salon était juste à côté de la chambre, j'en suis venue à penser que la sœur de mon fiancé entendait tout ce que nous faisions. Peu à peu, cette idée m'a excitée. Je l'imaginais en train de nous épier et je prenais des poses de plus en plus impudiques afin qu'elle puisse mieux me voir. Un jour, nous sommes allés tous les trois en pique-nique. Il faisait chaud et nous nous sommes installés près d'une rivière. C'est mon ami  qui a cédé le premier. Bien entendu, nous n'avions pas de maillot de bain. Qu'à cela ne tienne ! Le voilà qui enlève son slip et, tout nu, court vers la rivière. La vue de son sexe libre, de ses fesses bien dures, a réveillé instantanément mon désir de faire l'amour. Mais il y avait sa soeur.


Naturellement, cette dernière enlevait son corsage, sa petite jupe, pour se retrouver en dessous. Ils étaient d'ailleurs très affriolants. Un soutien-gorge à balconnets qui mettait en valeur une petite poitrine agréable à regarder, un mini-slip disparaissait sous le porte-jarretelles et les bas légers qui donnaient du galbe aux jambes. Nous étions face à face. Elle me regardait effrontément cette fois. J'avais la chair de poule sans savoir pourquoi. Elle a commencé à dégrafer son soutien-gorge et cette fois ce n'était pas très naturel. Plutôt une manière bien à elle de "s'effeuiller", Quand les petits seins ont jailli, tout blancs, avec des pointes roses du plus bel effet, j'avoue que j'ai eu envie d'elle. Mais mon naturel social est revenu immédiatement. J'ai enlevé ma robe, puis mon propre soutien-gorge. Je le faisais naturellement mais je n'ai pas pu m'empêcher de tressaillir quand j'ai senti son regard peser sur mes seins. Contrairement aux siens ils étaient lourds. Avec une auréole très large et des pointes bien développées. J'ai bien cru qu'elle allait se précipiter vers moi pour les embrasser.

Selon le site Rencontre Célibataire, les plus belles histoires d'amour sont entre femmes, exclusivement.

 

Déjà cependant, Jacques nous appelait en riant. J'ai fait glisser mon slip et j'ai offert ma toison à son regard. Une toison bien fournie, très femme, avec la fente rose qu'on voyait parfaitement. Voyait-on également l'humidité qui faisait briller mes lèvres ? Elle a enlevé ses dessous à son tour. Quand j'ai aperçu cette fente débarrassée de tout poil superflu, pareille à un sexe de petite fille, j'ai eu comme un étourdissement. D'un coup, j'ai su que j'avais envie de faire l'amour avec cette fille.